samedi 18 novembre 2017

Ite missa est?

Non, il s'est mis à l'ouest.

C'est comme d'habitude presque pareil mais différent. 

Mais alors pourquoi "ite missa est" demandez vous? Pour obtenir la réponse il faudra aller sur la côte regarder l'amer missel. Celui qu'a perdu son chapelain. Rien à voir avec les côtes de vermicelles dans un seau  ou de vermisseaux sur une selle. Rien à voir, non plus, avec le chat, faut arrêter de faire le pitre. Et donc voici un nouveau chapitre. (N'empêche qu'on est tous dans un bateau dirigé par un chanoine (un chat-noine?) qui voit pas qu'il arrive à la rive et donc crie "A"...)

Et donc pour faire simple, je suis en gros 22km plus à l'ouest. Y a pas de côte, y a pas de missel et y a pas de chapelain. Mais j'espère bien qu'il y a un chapon, hein! Et j'y fais des hocus pocus:

Bon, pour l'instant ça ressemble à rien. Mais ça m'évite une joyeuse vicissitude logorrhérique sur mon dernier latinisme et me permet de poser les deux vraies questions:

1) comment est-ce qu'on accorde "hocus pocus" au pluriel? Ma référence c'est octopus qui devient octopodes et qui n'est pas applicable à ce cas précis. En plus c'est un nom composé sans tiret.
2) pourquoi est-ce qu'il y a 2 r à logorrhée? Je sais bien que panta rhei, mais bon.
3) qu'est-ce qui me prend un dimanche matin à potron minet de réfléchir à comment sonnent des mots compliqués à écrire?

De 2) et 3) découle trivialement que compter c'est toujours pas mon truc. La démonstration formelle et rigoureuse est laissée au lecteur qui a tant de tifs à titre d'exercice.