samedi 25 juillet 2009

Chanson d'Automne

Les sanglots longs des violons de l'automne
Blessent mon cœur d'une langueur monotone.

Tout suffocant et blême, quand sonne l'heure,
Je me souviens des jours anciens et je pleure

Et je m'en vais au vent mauvais qui m'emporte
Deçà, delà, pareil à la feuille morte


Pitit billet sans inquiétude vu que je retourne en Suisse lundi, en accord avec tout ce qui était prévu en somme, vu que j'ai lancé le poème. Il est également certain que je revienne ici au premier septembre. J'ai pas arrêté de le dire ce soir.

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